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L'Histoire continue !...
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Et après ?...
 
Après la Révolution,
c'est une page d'histoire qu'il faut tourner...
Cuges au 19ème et au 20ème siècle
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En France, la période 1720-1770 est marquée par une embellie économique exceptionnelle. De nouvelles techniques sont mises en œuvre, les villes et les ports sont modernisés, tout comme les voies de communication : sous Louis XV, trente mille kilomètres de nouvelles routes carrossables sont aménagés.
 
20 janvier 1739. L’Assemblée des Etats est convoquée à Lambesc. On y présente un nouveau tracé pour le grand chemin reliant Marseille à Toulon. C'est décidé, la nouvelle route traversera Cuges. Les travaux commenceront en 1751.
 
Ce n’est pas encore le tracé que nous connaissons aujourd’hui, mais il s’en approche grandement, faisant entrer le village dans la modernité. Avec le 18ème siècle, Cuges découvre les bienfaits « du passage ». Dès lors, petits métiers et petites échoppes prospèrent, relais et auberges se multiplient, faisant fi de la menace qui pèse à chaque instant sur les voyageurs, celle de Gaspard de Besse, le Robin des Bois provençal !...
1720 - 2020, trois siècles d‘accalmie
1751 et la nouvelle route
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Le 25 mai 1720, le Grand Saint-Antoine entre dans le port de Marseille. A son bord, une cargaison de soieries et de cotonnades en provenance du Proche-Orient, que négociants, artisans, boutiquiers et ouvriers attendent avec impatience. Pour les uns comme pour les autres, l’arrivée du trois-mâts annonce renouveau économique et financier. La réalité sera tout autre. Le chaos succédera à l’espoir : au cœur des balles de tissu, les puces porteuses de la peste patientaient…
 
Certes, Marseille et la Provence avaient connu bon nombre d’épidémies de peste dans leur histoire : ce n’est pas un hasard si nombreux sont les lieux placés sous la protection de St Pons, de St Roch ou de St Sébastien. La peste de 1720 sera ainsi la vingtième épidémie du genre (la vingt-troisième ?)… En dépit d’un nombre important de victimes, ce ne sera peut-être pas la plus meurtrière. C’est cependant celle qui aura laissé le plus de témoignages et de représentations picturales, nous permettant de mieux en percevoir toute l’horreur.
 
Pour le port de Marseille, la peste est une menace constante, principalement en raison de ses nombreuses liaisons avec les Echelles du Levant et de Barbarie, où la maladie est endémique. Néanmoins, la mise en place d’un cordon sanitaire méditerranéen et la création vers 1620 d’un bureau de santé réglementant les quarantaines avaient permis une meilleure protection de la ville. Ainsi, en 1720, la peste n’avait-elle plus sévi depuis une soixantaine d’années... Deux générations ne l’avaient jamais connue… Sans doute même pensait-on alors qu’elle appartenait au passé… Et probablement ne serait-il rien arrivé si la réglementation avait été respectée. Mais d’erreurs en imprudences, de lâcheté en déni, les défaillances vont s’accumuler. Les protocoles de quarantaine vont être négligés, livrant peu à peu toute la ville aux puces pesteuses.
 
La transmission du bacille sera facilitée par la méconnaissance d’une maladie que le monde médical ne côtoie plus, monde médical par ailleurs fortement divisé. Quand Charles Peyssonnel reconnait les symptômes de la peste, Pierre Chirac, médecin attitré du Régent, déclare qu’il ne s’agit que de fièvres malignes dues à de mauvais aliments, fièvres dont il conteste par ailleurs toute contagiosité…
 
A la fin du mois de juillet, on se décide à prendre les premières mesures sanitaires, mais il est trop tard. La population la plus aisée a réussi à fuir la ville pour gagner les campagnes où, à défaut d’être en sécurité, elle n’a fait que propager l’épidémie. La peste de 1720 gagne ainsi toute la Provence, les Alpes du sud et une partie du Languedoc.
 
Dans les campagnes, on cherche tant bien que mal à se prémunir du fléau redouté, si redouté que l’on n’ose en prononcer le nom, tandis qu'il est encore vécu comme une punition divine. C'est aux autorités locales qu'il revient de lutter contre la « maladie contagieuse », ce mal invisible qui rend tout plus difficile, maintien de l’ordre comme ravitaillement des populations.
 
En la matière, Cuges n’échappe pas à la règle…
La peste de 1720
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Au début du 18ème siècle, la France et l’Europe connaissent une période de refroidissement. L’hiver 1709 en marque le point culminant. Marseille et sa région n’y échappent pas : entre le 6 et le 23 janvier, on compte 14 jours sans dégel ; la neige tombée en abondance ne fond pas ; le Vieux Port est gelé jusqu’au Pharo.
 
A Cuges, les ressources économiques, essentiellement agricoles, sont réduites à néant. Au cours des étés suivants, les incendies à répétition, favorisés par la présence du bois mort, ôtent aux repousses tout espoir de survie. Après 1709, de nombreuses familles, se retrouvant sans ressources quittent le village. Beaucoup d’entre elles iront s’installer dans les Landes, là où les forêts peuvent encore leur apporter un moyen de subsistance.
Le gel de 1709
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Le coeur du village au 17ème siècle
Le Conseil de ville achète une portion de terrain située en contrebas de la colline Sainte-Croix, en face de la chapelle des Pénitents. Il y fait construire un lavoir tout neuf, et au-dessus, une maison commune, ainsi qu’un abreuvoir pour le bétail.
 
Les travaux sont achevés en 1668. Le cœur du village, jusqu’alors sous la surveillance du château, prend ses distances et se déplace sur l’actuelle place de la Libération.
1661 - Maison commune et lavoir
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Le premier chemin royal
Au milieu du 17ème siècle, une importante nouveauté bouleverse la vie à Cuges : le tracé du grand chemin qui relie Marseille à Toulon est modifié.
 
Pour la première fois, la route descend dans la plaine. Cependant, elle ne traverse toujours pas le village, ne faisant que s’en approcher.
1647 - le nouveau Chemin royal
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Les Pénitents blancs de Cuges
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1601 - la Chapelle des Pénitents blancs
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D’un commun accord, seigneur de Cuges et villageois signent une charte de translation. Pierre par pierre, le village, jusqu’alors perché sur la colline, va être démonté pour être reconstruit en contrebas, là où il se trouve aujourd’hui. Le village continue toutefois à vivre dans la plus grande autarcie, car les voies de communication le contournent. Les activités agricoles dominent toujours. Ce sont les cultures provençales traditionnelles : le blé, la vigne, l’olivier. Mais, sur les restanques adossées à la Sainte-Baume, on cultive aussi le safran. La production de la poix et du charbon permet également aux villageois de tirer quelques revenus de l’exploitation forestière, des revenus suffisamment intéressants pour aiguiser la convoitise des seigneurs et susciter bon nombre de procès…
11 mars 1509 – la charte de translation du village
Sans doute au 15ème siècle le lac préhistorique n’est-il plus qu’un marécage nauséabond et malsain. Cuges entreprend alors d’assécher le fond de la plaine : un réseau de drains canalise les eaux de pluie et de ruissellement vers les embuts. Les travaux dureront jusqu’en 1476. Cuges gagne en salubrité et dispose en même temps de nouvelles terres exploitables. Consciente de l’intérêt majeur d’une telle opération, la mère du seigneur de Cuges exige que l’on assainisse de la même manière les terres seigneuriales du quartier de la Roque. Ainsi, une digue est aménagée pour canaliser les eaux indisciplinées vers les crevasses situées au sud de la plaine. Cet assèchement de la plaine aura très certainement encouragé le déplacement du village qui ne tardera pas.
1472 - L'assèchement de la plaine
 
Quelques événements marquants sous l'Ancien régime
La rencontre entre Joseph Bonaparte et Julie ClaryL‘acte de mariage de Joseph Bonaparte et de Julie ClaryListe des soldats de la Répubilique dont le décès a été enregistré à Cuges entre 1794 et 1795Des liens entre les familles Gravier, Girenton, Pontevès et Glandevès...
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En 1789, le seigneur de Cuges est une femme : dame « Gabrielle Charlotte de Gautier de Girenton de Gravier de Pontevès » est maîtresse des lieux depuis 1772.
 

Madame de Cuges ne fait pas partie de ces membres de la noblesse qui, sensibles aux idées des Lumières, font preuve de modernité. Au contraire, très attachée à la défense de ses privilèges et de ses droits féodaux, elle s’oppose à la communauté villageoise, non sans parfois quelques roueries, et ce bien avant la Révolution.
 
A partir de 1789, la tension entre villageois et seigneur va croissant et atteint son paroxysme au cours de l’été 1792. Les villageois ont alors appris que les deux fils de Gabrielle Charlotte, largement encouragés par leur « scélérate de mère », ont émigré. De plus, ils se sont enrôlés dans les troupes ennemies. Pire encore, les villageois ont découvert que la dame de Cuges, comme si « les usurpations de toute espèce, les vexations les plus odieuses » ne suffisaient pas, s’apprête à vendre son blé aux adversaires de la République... Furieux, quelques villageois se rendent alors au château, s’emparent du blé et de toutes les réserves. Aux deux cents charges de blé (environ trois tonnes), s’ajoutent rapidement deux tonnes de câpres et plus de mille hectolitres de vin. Profitant de cette visite au château, certains raflent au passage rentes et reconnaissances de dettes...
 
Mais la dame de Cuges entend bien réagir... Alléguant le pillage de ses biens et la perte de revenus qui en découle, elle réclame justice et dédommagement auprès du directoire du département. Ce dernier considère que les citoyens sont égaux devant la loi, et que la propriété est un droit aussi inviolable que sacré. En conséquence de quoi, « toutes les denrées saisies devront être restituées ». Le 8 janvier 1793, quand le village prend connaissance de l’arrêté, c’est l’émeute. Les villageois en colère investissent et dévalisent le château, a priori sans que les domestiques ne leur opposent la moindre résistance. La liste des objets volés est pour le moins conséquente...
 

Le même jour, un incendie ravage le dernier étage d’une tour du château. Les maçons consultés au cours de l’enquête déclarent qu’il s’agit d’un incendie purement accidentel, provoqué par un banal feu de cheminée...
 
Les démêlés entre les villageois et celle qui est devenue la citoyenne Girenton Gravier se poursuivront bien au-delà de la période révolutionnaire. Néanmoins, malgré la haine qu’elle aura accumulée contre elle, la dame de Cuges ne sera jamais molestée par les gens de Cuges. Il est vrai qu’il y a de fortes chances pour qu’elle ait quitté les lieux aux premières heures de « la tourmente » !...
 
En 1793, la royauté a été abolie, Louis Capet a été guillotiné, mais la jeune République est attaquée de l’intérieur comme de l’extérieur. Napoléon Buonaparte a reçu le commandement de l’artillerie au siège de Toulon, devenu fief des « blancs ». Les combats font de nombreuses victimes : les troupes républicaines sollicitent le secours des communes avoisinantes. Cuges doit fournir vivres et matériel. Quelques mois plus tard, Robespierre est guillotiné à son tour. Vient le temps des représailles, notamment en Provence où, prélude à la Terreur blanche, commence une période de grande violence dont Jacobins et soldats de la République sont la cible. Cuges doit héberger les soldats blessés au château, transformé pour la circonstance en hôpital de campagne. Les victimes vont y décéder les unes après les autres : entre 1794 et 1795, cent soixante-treize soldats meurent au château.
 

C’est également en 1794, le 1er août pour être précis, qu’est célébré à Cuges le mariage civil de Joseph Buonaparte, frère de Napoléon, avec Marie-Julie Clary.
 

La cérémonie religieuse a lieu non loin de Cuges, dans la petite chapelle du domaine de Julhans, propriété de la famille Clary.
 
La période révolutionnaire
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Le Pic de CugetQuelques Pontevès...Quelques Glandevès, dont ceux de Cuges...Les Vivaud, premiers seigneurs de Cuges
 
La seigneurie
Depuis 1165, Cuges est sous la dépendance du vicomte de Marseille, également baron d’Aubagne. Au début du 13ème siècle, ce dernier s’appelle Hugues III des Baux. Guerrier infatigable, Hugues III ne cesse de rechercher les fonds qui lui permettront de financer les guerres qu’il mène contre les comtes de Provence : le 11 décembre 1220, il vend le château de Cuges à Guillaume Vivaud. Ce dernier appartient à une riche famille marseillaise de négociants et d’armateurs : les Vivaud font partie des personnages influents de la cité phocéenne où ils exercent des responsabilités.
 

Le fief de Cuges restera dans les mains de la famille Vivaud jusqu’en 1435, date à laquelle Jeanne Vivaud le donnera à Barthélémy de Basqui. Le 7 octobre 1448, ce dernier le cèdera à son tour à Antoine de Glandevès, pour la somme de 1800 florins. Dès lors, Cuges fera partie du patrimoine de la famille Glandevès.
 

Il en sera ainsi jusqu’à la Révolution. Malgré ce, il arrivera que, au hasard des alliances et des successions, une autre grande famille de la noblesse provençale, à savoir la famille Pontevès, se trouve quelquefois associée au destin de Cuges.
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Le Haut Moyen-âge
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La découverte de canalisations, de fragments de tuiles, de dolia, de dallages ou de sépultures permet d’envisager une occupation des lieux par les Romains, et plus sûrement par les Gallo-romains. Ces derniers semblent avoir privilégié le vallon de Sainte-Madeleine, les quartiers du Clos, de Cros-Reynier, du Gros Driou, ainsi que les environs du domaine de Pinval. Les sépultures ont toutes été trouvées dans le périmètre qui avoisine l’église actuelle. Romains et Gallo-romains continuent d’emprunter les voies de communication des Massaliotes et vraisemblablement de leurs prédécesseurs, des voies qui, évitant la plaine, suivent les hauteurs qui la dominent.
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L'antiquité romaine
 
Préhistoire
La formation du lac
Les particularités géomorphologiques du site ont largement influé sur les modes d’occupation et de gestion du territoire, mais également sur les axes de communication, et donc sur les échanges culturels et économiques. A cet égard, la présence d’un lac recouvrant la plaine de Cuges aux temps préhistoriques est particulièrement significative.
 
Le lac de Cuges se forme aux environs de 25 000 ans avant JC.
 

Sous l’influence des diverses variations climatiques, il connait des périodes d’extension et de régression : vers 6 000 ans avant JC, il couvre une superficie d’une soixantaine d’hectares, tandis que, 3 000 ans plus tard, il s’étend jusqu’à 4 Km². Il atteint alors une profondeur de 20 mètres en son centre.
 

Au Mésolithique (entre 7000 et 5500 ans avant JC) et au Néolithique (5500 à 2500 avant JC), quelques familles humaines s’installent sur les rives du lac : plusieurs stations de plein air ont été mises en évidence par messieurs Eugène Bonifay et Escallon de Fonton.
 
D'autres traces d’occupation humaine ont été relevées à Cuges aux temps préhistoriques : le relief karstique, propice à la formation de grottes et d’abris sous roche, a également favorisé l’installation de groupes humains en colline. Silex, tessons de poterie et restes d’ossements laissent entendre que ces grottes ont été utilisées au Chalcolithique (âge du cuivre) et à l’âge du bronze, soit entre 2500 ans et 1000 ans avant JC. Ces premiers habitants appartenaient à des populations de culture castelnovienne, couronienne ou campaniforme.
Cuges a longtemps été une commune rurale. C’est aujourd’hui une petite ville d’environ 6000 habitants, située à mi-chemin entre Marseille et Toulon, accrochée au versant sud du massif de la Sainte-Baume. Son territoire couvre une superficie de 3881 hectares. Ses paysages ? Une vaste plaine cernée de vertes collines boisées, des formes douces et arrondies, où surgissent, incongrues, d’abruptes falaises calcaires, témoignage de l’effondrement du bassin à l’ère tertiaire.
La Préhistoire
 
L'Antiquité romaine
 
Le Haut Moyen-âge
 
La seigneurie
 
La période révolutionnaire
 
Quelques dates
 
Et après ?...
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Le démantèlement de l’empire d’Occident et les grandes invasions, l’affaiblissement des dynasties mérovingiennes et carolingiennes, les rivalités politiques aux conséquences guerrières font de cette période un temps de troubles, d’insécurité et de grande violence. Il s’ensuit une grave crise démographique et économique. Les familles humaines, sans doute jusqu’alors dispersées dans les collines, cherchent à se protéger et se regroupent petit à petit autour du pic de Cuget et de son oppidum.
 

A la fin du 10ème siècle, la Provence voit apparaître ses premières dynasties comtales. Guillaume le Libérateur récompense ses fidèles compagnons d’armes et leur distribue quelques biens fonciers, à charge pour eux de remettre en état des terres dévastées par la guerre. Commence le temps des châteaux et des forteresses, toujours bâties sur les hauteurs. Et c’est probablement au 11ème siècle que l’on construit sur la colline Sainte-Croix le « Castrum de Cugis ». De gré ou de force, les habitants du quartier de Cuget abandonnent alors leurs habitations pour venir s’installer au pied du château : ils se placent sous la protection du seigneur, mais en même temps sous sa domination.
En 1601, plusieurs habitants du village profitent du passage de l’évêque Frédéric de Ragueneau, venu accomplir sa visite canonique. Ils lui font part de leur désir de se rassembler au sein d’une confrérie de pénitents blancs, qu’ils souhaitent placer sous le titre du Saint-Esprit. L’évêque accède à la demande et autorise la jeune confrérie à bâtir une chapelle sur les ruines de l’ancienne église Notre-Dame-de-Bellevue.
 
Cette église Notre-Dame-de-Bellevue est celle qui avait remplacé la toute première église du Castrum quand elle devint trop petite, située a priori là où se trouve aujourd’hui la chapelle Saint-Antoine. Notre-Dame de Bellevue avait été érigée en église paroissiale en 1349. Elle fut désaffectée à partir de 1546 (1545 ?), date à laquelle la nouvelle église du nouveau village fut achevée.
 
En 1601, Notre-Dame de Bellevue était donc à l’abandon, et vraisemblablement en ruine. Un an plus tard, la chapelle des Pénitents Blancs est fin prête. Désormais, les frères s’y réuniront régulièrement toutes les semaines, et ce, au moins jusqu'à la Révolution.